Non le papier n’est pas mort. Il est d’autant moins dans un monde digital, où on est à la recherche de relais « dans la vraie vie. ». Il retrouve un statut particulier, qualitatif, et parfois très marquant si l’on joue sur les textures, les papiers, les formats, le graphisme, le vernis, ou les couleurs Pantone. Les exemples sont légions d’opérations où un beau document imprimé et envoyé à 1 000 clients donne plus de résultats qu’un emailing vers 500 000 adresses.